Une heure a suffi pour terminer de réorganiser la salle d’archives de la mairie annexe et de finir de documenter les éliminations. C’est maintenant à la mairie de jouer pour obtenir le visa des Archives départementales et procéder à une élimination sécurisée des documents.

Le reste de la matinée a été consacrée à la salle d’archives de la mairie, moins sinistrée mais où ont été entreposés des sacs poubelle de documents atteints par l’eau. Nous passons le relais à notre référente-archives Laandhoiti Mabou (à qui nous consacrerons un portrait demain !).

pour amorcer la rédaction d’un nouveau bordereau d’élimination.
A 11h30, il est déjà l’heure de prendre la route et de se dire au revoir. Nous échangeons nos contacts et nous repartons avec des pin’s aux couleurs de M’tsangamouji.
Kwahéri M’tsangamouji, Gégé Kani Keli ! [1]
Le trajet est un peu plus long que prévu car la route de la côte ouest est bloquée par des manifestants pour protester contre le climat d’insécurité à Sada. Nous traversons donc l’île puis nous empruntons la route de la côte est vers le sud.

Après une pause pizza au bord de Musicale Plage à Bandrelé, il est temps de faire connaissance avec les agentes de la commune de Kani-Kéli (plus précisément le village de Choungui) où les archives endommagées par Chido ont été entreposées dans une salle des fêtes, elle-aussi touchée par le cyclone.

Cette première demi-journée a été consacrée à faire connaissance, à présenter les objectifs de la mission, à prendre possession des lieux et à organiser les prochains jours, notamment en emménageant deux petits locaux sur les côtés de la scène, qui serviront au stockage provisoire des archives définitives. Pour les équiper : réemploi du mobilier de la bibliothèque de la commune !




