Ils évoquent leurs connaissances sur les archives de la compagnie de chemin de fer et nous confirment que les trains continuent à circuler sur une portion de la ligne. Nous apprenons également, contrairement à ce que nous avions compris, que la nouvelle ligne de chemin de fer repose sur des infrastructures tout à fait autonomes. La ligne distante de quelques centaines de mètres de la ligne historique la longe jusqu’à Djibouti. Malgré son inauguration en fin d’année dernière, faute d’alimentation suffisante en électricité, les trains ne circulent pas. En outre le dernier tronçon prévu pour relier le port de Djibouti n’est pas construit.
S’agissant des archives que la Compagnie conserve à Dire Daoua ils nous confirment qu’une institution néerlandaise a entrepris la numérisation des dossiers de personnel. Deux enseignants de l’université de Dire Daoua sont leurs relais locaux. Le projet est suspendu dans l’attente de nouveaux financements.
Après à ce premier échange, nous leur présentons notre projet et voyons de quelle manière il serait éventuellement possible de coopérer par la suite.
Un rendez-vous à l’ambassade
Le rendez-vous avec le directeur du CFEE et avec le conseiller de coopération et d’action culturelle ayant été décalé, ce n’est que le mardi matin que nous les rencontrons officiellement à l’ambassade.
mercredi 7 juin 2017
2017-06-07T21:50:00Z
2019-09-28T21:50:46Z
CJ et CF