Dans un premier temps, nous nous contentons de faire connaissance, d’expliquer la raison de notre présence et d’échanger autour des archives. M. Solomon n’ayant manifestement pas connaissance des missions passées, il s’interroge sur l’intérêt de la compagnie vis-à-vis de ce projet. En effet, même avec un accès extrêmement limité à ces archives, des ouvrages sur l’histoire de la compagnie ont été publiés ces dernières années.
Il était en revanche vraiment important pour lui que nous lui présentions préalablement une lettre officielle de la présidente d’Archivistes sans frontières-France exposant l’objet de notre venue. Nous n’avions malheureusement à ce moment précis pas encore ce fameux document.
Nous reprenons donc rendez-vous pour le lendemain matin en espérant avoir reçu la lettre d’ici-là.
