Ce saccage aurait été commis par des pêcheurs du Guet Ndar manifestant violemment pour obtenir des contrats de pêche. Ces derniers ont commis d’importants dégâts matériels mais surtout incendié les archives et la documentation de cette organisation.
Cette agression contre un patrimoine commun intéressant les populations du Sénégal, du Mali, de la Guinée et de la Mauritanie ne pourra que très partiellement être reconstituée. C’est l’occasion ou jamais de rappeler que « un peuple sans mémoire est un peuple amnésique » et de relayer l’appel à l’aide de la directrice des archives du Sénégal.